jeudi 29 mars 2012

Tout le monde à table (la suite) !

On continue avec les purées, mais avec peu de succès, peu importe qui tend la cuillère...

Tantine Thérèse essaie de convaincre Aurèle
que c'est bon, les patates douces!

On a pris une petite pause avant de passer aux céréales : riz, millet, épautre (de la marque méga-grano Holle, dénichée sur Amazon.uk) et avoine puisqu'il faut bien l'initier au porridge!

Après une pause d'une journée - le temps d'une visite à Londres - on y est allé avec le panais, qui a été un succès, le premier vrai succès depuis qu'Aurèle mange des "solides". Ce qui a semblé l'aider à développer son réflexe pour avaler est le gobelet d'eau que nous lui avons donné quelques jours avant. Il s'est amusé à boire au gobelet et a développé une véritable passion pour son beau gobelet jaune. Bravo champion!
Très intéressé par le contenant et peu
par le contenu.

Ce qui est fascinant quand on s'intéresse à l'alimentation des bébés, c'est de constater à quel point l'introduction des solides est une pratique éminemment culturelle, qui varie d'un pays à l'autre.

Par exemple, une amie allemande partageait récemment avec moi la "méthode allemande" :
Avant les cereales, les Allemands suggèrent de commencer avec 1 sorte de légume et de le faire manger pour 10 jours - s'il n'y a pas de signe d'allergie, on introduit alors les pommes de terre, 10 jours, ensuite 1 autre sorte de légume en purée pour 10 jours, ainsi de suite... Toujours avec un petite cuillère d'huile végétale pour mieux digérer les vitamines.

Et voici ce qu'on suggère de faire ici, en Angleterre, et qui ressemble en tous points à ce que j'ai fait avec Jean-Léon et à ce que je fais (ou tente de faire!) avec Aurèle. Je traduis librement un document préparé par le NHS :

À partir de 6 mois, les premiers aliments solides peuvent inclure des légumes cuits comme le panais, les patates douces, yam, patates ou carottes. Les fruit frais écrasés comme la banane, l'avocat, la pêche ou le melon sont aussi bons. Les bébés aiment souvent manger eux-mêmes des aliments qui se prennent avec les doigts ou réduits en purée. On peut aussi les nourrir à la cuillère de façon à ce qu'ils soient rapidement capables de le faire eux-mêmes.


On dénote ici la tendance pour le "Baby led weaning" alors que les céréales brillent par leur absence...

Étonnant et intéressant, n'est-ce pas ? 

mardi 27 mars 2012

Promenade gourmande dans Londres

Prises sur le vif lors de notre promenade au Borough Market de Londres, ces photos parlent d'elles-mêmes.

Présents sur les photos : Ariane et Vincent, Tim et Sophia, Tantine Thérèse, Jean-Léon et Aurèle, Jean-Fred et moi, des "pies" et des passants, des fromages et leurs fromagers, le fantôme de Josée di Stasio.

J'ai déjà hâte d'y retourner.





À l'extrême droite de la photo,
le célèbre Scotch egg ou oeuf pané enrobé de saucisse.

Jean-Léon et sa poussette "sous-marin"


Des montagnes de Stilton (pensée pour grand-poupou).


jeudi 22 mars 2012

"No Vacancies"

Samedi dernier, notre B&B affichait "complet".

D'abord, ma tante qui est en visite pour deux semaines et qui s'en donne à coeur joie avec les enfants, en plus de me donner un sérieux coup de main alors que Jean-Fred doit écrire trois essais en six semaines, soit la durée de la "relâche" avant la prochaine (et dernière) session de l'année scolaire.


Ensuite, une visite éclaire de Nicolas, cousin de Jean-Fred, de passage pour une entrevue à Londres. 

On a bien visité, bien mangé (rosbif anglais et gratin dauphinois réussis), bien jasé...et tout le monde a bien dormi! 

J'étais très contente d'avoir tout ce monde autour de la table.

mardi 20 mars 2012

Tout le monde à table!

C'est sur un coup de tête que nous avons commencé, mardi dernier, à donner des purées à notre beau petit Aurèle. Suivant les recommandations de la Bible des parents ("Mieux-Vivre" québécois, édition 2011), nous avons conclu que notre bébé était prêt à se lancer dans la grande aventure de l'alimentation "solide".
Voici pourquoi :
1) Il avait augmenté la fréquence de ses boires pendant 5 jours consécutifs (maman était épuisée!).
2) Il semblait intéressé lorsque nous mangions, regardait avec intérêt les aliments passés de l'assiette à la bouche, suivait des yeux notre fourchette ou cuillère.
3) Il se tenait bien assis dans la chaise haute (que nous avons réussi à ouvrir dans notre salon/salle à manger/salle de jeux, une fois qu'on a enlevé la balançoire de bébé).
4) Il avait presque 6 mois (5 mois et demie, plus précisément).
5) Il maitrisait les muscles de son cou de manière à tourner la tête pour indiquer un refus.
Le seul critère qui posait problème était celui indiquant qu'il pouvait fermer les lèvres sur une cuillère et qu'il devait être en mesure d'avaler la nourriture. Était-il capable ou non ? Nous allions le découvrir sur-le-champ !

Comme on aime le répéter aux mamans, il n'y a pas deux bébés pareils. Au même âge, Jean-Léon n'était aucunement intéressé par la nourriture. Pour cette raison, j'ai commencé les purées à 6 mois et une semaine. Or, même s'il n'y a pas deux bébés pareils, on tient à répéter les formules gagnantes. Nous avons donc introduit les aliments dans le même ordre que nous l'avons fait pour Jean-Léon, c'est-à-dire en ne suivant pas la recommandation canadienne voulant que l'on commence par les céréales. On vit dangereusement, vous me direz. Mais la DPJ ne nous a pas encore retracés!

Nous avons plutôt opté pour les légumes oranges, qui sont sucrés, colorés, attirants pour bébé et beaucoup plus faciles à avaler. D'abord la courge butternut, ensuite la carotte puis la patate douce. Nous   enchaînerons ensuite avec quelques fruits avant d'introduire les céréales dans quelques semaines, quand Aurèle sera bien habitué à déglutir sa purée. 
Et heureusement que nous avons fait cela car les premières expériences ont été peu concluantes! Aurèle a pris beaucoup de plaisir à être avec nous à table et à saisir sa cuillère (nous procédons à 2 cuillères : une pour lui, une pour nous) mais a eu de nombreux haut-le-coeur en mâchant sa purée. Notre plus grand succès a été les patates douces, que j'ai fait plus liquides et qui sont naturellement plus sucrées que les autres légumes. J'essaierai d'ajuster la texture pour les prochaines purées en les diluant davantage. 

Quel plaisir de le voir découvrir et surtout, de l'avoir à table avec nous. Et ça ne fait que commencer...



jeudi 15 mars 2012

Colle, papier, ciseaux, go!

J'ai toujours été nulle en arts plastiques (mes amies du PSNM peuvent en témoigner). Mais j'ai toujours beaucoup aimé ça! 

Depuis que je bricole avec Jean-Léon, je n'ai plus aucun complexe à créer, à bricoler, à inventer des oeuvres d'art. Caroline, une amie maman, me demandait récemment où je prenais mes idées pour bricoler avec mon fils. Hé bien, réflexion faite, je n'ai pas à me creuser la tête trop longtemps, car Jean-Léon est une machine à idées! Presque toutes les idées viennent de lui, des émissions qu'il regarde, des livres qu'il aime, des histoires qu'on se raconte. 

Pour le reste, il suffit de posséder du matériel obtenu en une visite chez Dollorama (ou Poundland!). La trousse de départ peut comprendre : papier collant en quantité industrielle, tablettes de papier, crayons de toutes sortes, ciseaux à bouts ronds, colle en bâton et liquide, ficelle, étampes, plumes, pom-poms, peinture et pinceaux pour les jours de grandes occasions (le vendredi, quand on a été gentil et que maman, ça lui tente de sortir tout le gréement).

Notre potager : bricolage en 3 dimensions. Contient un citronnier, des framboises, des bleuets, des laitues, une carotte, une citrouille et des fleurs. Inspiration : un épisode de Toc Toc Toc où on voyait des laitues en papier de soie et le jardin de grand-mère Thérèse, aux Cèdres.



L'atelier de confection de chapeaux : chapeaux conçus et réalisés par Jean-Léon (sauf les noeuds!).

1. Chapeau breton


2. Chapeau de "chevalier méchant"


3. Couronne d'Amérindien qui se porte "assis en indien". Matériel : une assiette en carton et une plume.



mardi 13 mars 2012

Une garderie pour la vie

Cette semaine, Jean-Léon a franchi toute une étape, et doublement : il est allé à la garderie sans faire de chichis et il y est allé alors que son éducatrice et interprète, Malika, était en vacances. Depuis le début, Malika, qui est d'origine algérienne, traduit pour Jean-Léon les consignes, lui fait répéter les mots en anglais et en français, est son intermédiaire auprès des autres éducateurs et enfants de la garderie.

Malika, une vraie perle d'éducatrice
qui a pris Jean-Léon sous son aile.
Depuis novembre, comme vous le savez, Jean-Léon va deux jours par semaine au pre-school. Jean-Fred et moi avons pris la décision de l'envoyer à la garderie située dans la cour de notre immeuble (la Mansion Nursery) malgré les frais exorbitants que cela représentait pour nous. Deux jours de garderie nous coûtaient alors environ 300 pounds par mois. Depuis janvier, soit depuis le trimestre suivant le 3e anniversaire de l'enfant, le gouvernement subventionne la moitié des heures que passe Jean-Léon à la garderie, ce qui revient, par mois, à peu près à ce que nous payions à Montréal pour envoyer Jean-Léon à la garderie...à plein temps!

La première fois que je suis entrée au pre-school, j'y ai surtout remarqué les différences avec notre garderie chérie du Mile End : un seul local pour quatre groupes d'enfants, un désordre apparent, une odeur bien caractéristique (ça sent la moulée!). Mais rapidement, j'ai apprécié son côté instinctif, sa façon de favoriser l'initiative des enfants et leur autonomie : les portes sont souvent ouvertes sur la petite cour, bien garnie en jouets de toutes sortes (tricycles, billots de bois, casseroles pour faire de la musique, etc.) et bordée de plantes et d'arbres entretenus par les enfants, de manière à encourager les enfants à aller jouer dehors si ça leur dit ; les tables aménagées autour de différents thèmes ; la rotation des jouets ; la présence d'un ordinateur et d'un écran où défilent des photos des enfants ; les activités de cuisine (les enfants préparent de la soupe, des crêpes, et même des saucisses!) ; mais surtout la façon dont ils sont encouragés à participer à tout, sans y être obligés. Tu as envie de lire un livre, tout seul, dans le coin lecture? Et bien vas-y mon grand! Côté repas, c'est le paradis pour Jean-Léon : les jours de garderie sont des jours à 5 repas. Il déjeune à la maison, re-mange lors du petit déjeuner à la garderie (céréales, gruau, rôties au menu), prend le lunch le midi et se goinfre ensuite à l'heure du thé, où l'on sert plus qu'une simple collation : sandwichs, soupe, crudités et dessert. On a d'ailleurs dû décaler un peu l'heure de notre souper ces soirs-là pour que Jean-Léon soit en appétit.

Si nous avons offert ce luxe à notre garçonnet, c'est principalement pour qu'il puisse apprendre l'anglais et qu'il puisse aussi retrouver une vie à lui, avec des amis et des éducateurs lui apportant autre chose que ce que lui apporte la vie de famille. Mais je vous assure que jusqu'à tout récemment, c'était davantage un combat de chaque semaine de l'y envoyer. Il fallait le motiver, lui promettre surprise après surprise, endurer des crises et des larmes, faire la cheeleader à pom-poms chaque matin de pre-school. Un matin, Jean-Fred m'a même téléphoné après l'avoir déposé à la garderie : Jean-Léon faisait une méga-crise pour ne pas y aller. Jean-Fred était tout à l'envers, il ne savait plus quoi faire. Il me dit : "Qu'est-ce qu'on fait?" J'ai dit : "On le laisse là! On ne peut pas le remonter à la maison à chaque fois qu'il pleure...Il faut s'en tenir à notre décision!" Et je lui ai rappelé l'anecdote du papa chinois que m'avait raconté mon amie Maude : un papa chinois emmène son enfant au cours de natation. La monitrice lui dit que son fils pleure, qu'il ne veut pas aller dans la piscine. Il lui dit que justement, c'est pour ça qu'il l'emmène au cours de natation. Et il lance son fils dans la piscine. C'est ce que nous avons donc fait chaque semaine : lancer notre fils dans la piscine en s'assurant qu'il y avait quelqu'un pour l'attraper.

Ainsi, nous avons tenu bon et depuis quelques semaines, nos efforts semblent porter fruit : Jean-Léon joue beaucoup avec les autres enfants, il participe à toutes les activités, comprend toutes les consignes en anglais, utilise les formules de politesse en anglais, revient chaque semaine avec de nouveaux mots. Je ne peux imaginer ce que ce serait s'il y était allé 5 jours par semaine. Et tout ça nous rend tellement fiers.

C'est aussi la première fois que j'ai cette impression que Jean-Léon a vraiment une vie en dehors de nous, de notre petite cellule familiale. Ce qu'il apprend, il ne nous le doit pas à nous mais à lui seul et à l'environnement que lui offre la garderie. L'anglais devient pour lui aussi la langue du monde extérieur. Je ne cesse de m'extasier devant ses progrès, devant sa compréhension lorsqu'il écoute la télé en anglais sur l'ordinateur, devant sa façon de nous dire maintenant "Finished!" quand il a fini de manger à table. Avec l'accent british en plus.
La fête de Noël, dans la cour : Jean-Léon avec
le maracas qu'il avait fabriqué pour l'occasion
Avec Ilyan, qui est dans le groupe des plus jeunes,
à la même garderie. 
Quand je vais chercher Jean-Léon à la garderie ces jours-ci, il ne veut pas rentrer à la maison. Il continue de s'affairer dans le coin peinture ou de jouer avec les bateaux dans le bac à eau. Il me montre ce qu'il a fait dans la journée, me parle des repas, va faire un dernier petit tour dans la cour avec les amis avant de partir. Il salue les éducateurs d'un "See you next time!" bien sonore et tous les amis lui disent "Bye bye!". Ça va tellement bien que nous avons décidé qu'il irait une journée de plus à la garderie, le mercredi. Mais ne lui dites pas, il ne le sait pas encore. Je suis prête à ressortir mes pom-poms...




jeudi 8 mars 2012

Pique-nique à l'irlandaise

"En Irlande, les gens n'attendent pas qu'il fasse beau pour faire quelque chose. Sinon, ils ne feraient jamais rien."

Ces phrases, je les entends depuis que je suis toute petite, soit depuis que mon père est allé visiter ce pays en juin...1978! On pourrait penser qu'il radote un peu, mais en fait, ce sont les paroles d'un sage. C'était vrai en 1978 et ce l'est encore aujourd'hui!

Or qui aurait cru que j'allais un jour vivre ces phrases, en faire l'expérience plus souvent qu'à mon tour en ce printemps hâtif à Oxford ? Car le prix à payer pour avoir ce printemps avant tout le monde, c'est la pluie et la grisaille.

Ces phrases à propos de l'Irlande me reviennent en tête quand je regarde ces photos de notre dernier pique-nique sous la pluie. Jean-Léon et moi voulions bien aller au café, l'autre samedi, mais c'était complet partout. Et pas facile de trouver un endroit où se poser avec ma poussette double... Nous avons donc opter pour un chocolat chaud à la terrasse d'un café qui ne fait que terrasse, en plein centre d'Oxford. Il ne pleuvait pas encore quand nous avons pris cette décision. Puis, la pluie s'est mise à tomber, un peu, beaucoup...
Heureusement, comme le dit Jean-Léon, qu'"on n'est pas fait en chocolat!" 

Miam! Un bon chocolat bien mouillé.
Absent de la photo : Aurèle qui dort dans sa poussette...sous la pluie.

mardi 6 mars 2012

Petit carnet d'adresses à Londres

Voici quelques bonnes adresses où manger à Londres. Nous ne sommes qu'aux premières pages de notre carnet puisque d'autres visites à Londres sont prévues dans les prochaines semaines.

Amaya : suivant la recommandation de mon guide Cartoville de Londres (j'adore ces guides!), nous nous sommes rendus en famille, avec grand-papa et grand-maman de Québec, dans ce chic restaurant indien du quartier Belgravia. Au détour des coquettes petites rues du quartier, une boutique de chaussures Christian Louboutin où les chaussures sont exposés telles des oeuvres d'art (au prix d'oeuvres d'art d'ailleurs!) et où on n'oserait jamais mettre les pieds avec des enfants à moins d'être Victoria Beckham, des bagnoles de luxe, des fashionatas qui font les boutiques en short de cuir noir un dimanche matin... et pourquoi pas!

Le restaurant, caché au fond d'un passage - désert en ce beau dimanche midi -, offre une cuisine indienne raffinée, digne de la plus savoureuse gastronomie. On est ici en présence d'une cuisine et d'une ambiance recherchées, étudiées et conçues pour faire oublier tous les bouis-bouis indiens de ce monde, style Parc-Extension. Une ambiance design mais pas snob où on nous a très bien accueilli avec notre marmaille (évidemment, c'était dimanche midi, on s'est quand même donné une chance!) et où le menu dégustation (curry, poisson à la noix coco, accompagnement de légumes divers) que nous avons partagé demeure inoubliable de saveurs et d'exotisme. Un ravissement pour le palais.

Interdit de prendre des photos à l'intérieur...désolé!

- Caffè Florian, chez Harrod's : pour prendre la pause lors d'une journée de magasinage, le café du célèbre magasin vaut le déplacement. C'est ce que nous avons fait Rita, Aurèle et moi lors de notre virée d'un jour dans la capitale. Une carte des thés imposante, des scones délicieux, on peut aussi y prendre le "Champagne afternoon tea"...la prochaine fois peut-être?! Fait cocasse : c'est là qu'Aurèle a lancé sa première assiette par terre. Il sait se faire remarquer!

- The Orangery : Situé dans Kensington Gardens, ce restaurant avec une grande salle sur le long, bordée de fenêtres, est mon coup de coeur. Voyez pourquoi :


On suit l'allée royale et on arrive à l'orangerie où se trouve le restaurant. 

On peut se prendre pour une princesse, le temps d'un repas.

Une somptueuse table des desserts nous accueille.

On peut y prendre le menu "thé" : sandwichs, scones
et pâtisseries servis sur un petit plateau étagé.

La salle est vaste et lumineuse. 
Le menu de style "pub" est varié et la cuisine, délicieuse :
salades, joue de boeuf, saucisses, pâtés du jour, tout était très bon!

Les enfants sont les bienvenus et se régalent.
"Two thumbs up!"
-

jeudi 1 mars 2012

Un autre blog

Ça y est, j'ai la piqûre : je blogue!
J'ai décidé de me lancer dans l'aventure d'un autre blog, cette fois-ci de cuisine.
Des recettes qui mettent du bonheur dans notre foyer, des sujets qui me tiennent à coeur et qui tournent tous autour de l'assiette, des inspirations à cuisiner, des façons de faire, des idées et des trucs, bref un peu tout ce qui me préoccupe en tant que mère nourricière.
J'ai décidé de faire ça ailleurs, à une autre adresse, pour ne pas alourdir ce blog familial et ne pas ennuyer ceux qui ne cuisinent pas ou qui sont au régime.

Alors, suivez-moi, c'est par ici pour les Ox-Recettes ou recettes d'Oxford! http://oxrecettes.tumblr.com/

J'ai 5 mois

Quand j'avais 5 mois, mes parents ont pris une photo de moi dans ma chaise haute, avec un chapeau de papier qui portait l'inscription "J'ai 5 mois". Comme je suis d'une autre époque, cette photo n'existe que sur papier, et comme je suis expatriée, je n'ai pas la photo avec moi. Tout ça pour dire que sur ma photo qui a dû être prise vers le 30 septembre 1975, je ressemble à peu près à ça :

Jean-Léon, 25 mars 2009

Aurèle, 29 février 2012